Comprendre la logique Bâle du risque de crédit
- Linda Matsing
- 22 juil.
- 1 min de lecture

Lorsqu’une banque prête de l’argent, elle prend un risque : celui de ne pas être remboursée. Les accords de Bâle (mis en place par le Comité de Bâle) obligent les banques à mesurer ce risque et à conserver suffisamment de capital pour pouvoir absorber d’éventuelles pertes. C’est une logique de protection : la banque doit prouver qu’elle peut résister à des défauts de paiement, même en période de crise.
La mesure du risque de crédit repose sur trois éléments essentiels :
PD (Probability of Default) : la probabilité que l’emprunteur ne rembourse pas,
LGD (Loss Given Default) : la part de perte en cas de défaut,
EAD (Exposure at Default) : le montant dû au moment du défaut.



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